Contrairement à ce que beaucoup de gens pensent, l’apiculture n’est pas uniquement axée sur la production de ce miel. En fait, le miel est le produit le moins cher de la ruche. Plusieurs autres produits peuvent être commercialisés, tels que la cire, la propolis, le pollen et la gelée royale, qui peuvent représenter un profit et une source de revenus pour ceux qui se consacrent à cette activité. Lex apiculteurs contribuent également à la préservation de l’environnement, car ils doivent prendre soin du milieu de vie naturel des abeilles.
L’apiculture est essentielle pour la pollinisation et la production de miel
Reconnu comme l’un des plus grands guérisseurs naturels de la nature, le miel est utilisé comme remède maison depuis des milliers d’années. Même aujourd’hui, il existe de nombreuses façons de profiter des super pouvoirs du miel , du soulagement de la toux à l’adoption des propriétés antioxydantes de l’édulcorant naturel.
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S’il est une chose qui n’a pas été affectée par la pandémie, en ce qui concerne l’agrobusiness, c’est bien la production et la consommation de miel ; au contraire, elle n’a fait qu’augmenter. Et ce, malgré le fait que plusieurs secteurs ont été fortement touchés par les impacts économiques au cours des deux dernières années.
Une bonne gestion des ruchers améliore la production
Définir l’emplacement de votre rucher est l’une des décisions les plus importantes de l’apiculteur. Certains facteurs doivent guider cette décision, qui interfèrent dans les rendements prévus, dans la praticabilité des travaux et dans la sécurité des personnes et des animaux.
Pour réussir dans cette entreprise, le producteur doit prendre en considération la flore apicole, la présence d’endroits abrités par des arbres ou des haies (appelés brise-vent), l’ombrage, la topographie, les conditions environnementales, la facilité d’accès et la sécurité.
Idéalement, le pâturage des abeilles doit être proche des colonies, abondant, diversifié et sans interruption de la floraison tout au long de l’année. La distance que les abeilles parcourent pour collecter le nectar et le pollen est un autre facteur qui a un impact direct sur la production de miel.
Le rôle de la reine des abeilles
La reine, bien sûr, est au cœur de tout ce qui se passe dans une ruche en bonne santé. À quelques exceptions près, elle est la seule reine d’une colonie d’abeilles mellifères qui peut compter 60 000 ou plus. En tant qu’apiculteur, il est important de comprendre le rôle de la reine et son interaction avec les ouvrières. Cela vous aidera à évaluer la santé de la colonie de manière continue et à résoudre les problèmes lorsque des problèmes surviennent.
La grande majorité des autres abeilles travaillent pour soutenir sa productivité de ponte. Bien qu’une grande partie de leur travail ne soit pas directement liée à la ponte, tout cela contribue à la survie continue de la colonie. Par exemple, les ouvrières construiront d’énormes réserves de miel au cours du printemps et de l’été. Ces réserves soutiennent la survie de la colonie pendant l’hiver, après quoi la reine recommencera à pondre.
Aujourd’hui, la reine buckfast représente la race d’abeille la plus appréciée aussi bien par les amateurs que les professionnels. Choyée pour sa douceur et sa production de bonne qualité, elle est également peu essaimeuse à la condition que vous veilliez à ses réserves entre deux miellées et en hiver. Elle est prolifique, excellente butineuse et propolise peu.
Le travail des abeilles ouvrières
En effet, si les ouvrières doivent voler sur de longues distances pour chercher des sources de nourriture, elles dépensent beaucoup plus de temps et d’énergie pour retourner à leur colonie, par rapport aux ouvrières qui volent vers des endroits plus proches. Par conséquent, plus les abeilles travaillent, plus l’usure est importante et plus leur durée de vie est courte.
Normalement, une abeille butine dans un rayon de 3 kilomètres, mais elle est capable de voler sur deux fois cette distance en cas de source abondante de nectar. Dans cette logique, l’emplacement des sources d’eau est également très important. L’idéal est qu’il se trouve à environ 500 mètres des ruches.
Si le terrain ne propose pas cette option, il est nécessaire d’installer des fontaines à boire. L’eau est une source essentielle pour le maintien de l’équilibre thermique des essaims, car elle est utilisée pour refroidir le nid lorsque la température extérieure est trop élevée.
Le risque d’extinction des abeilles concerne l’ensemble de l’humanité
Si les abeilles disparaissent réellement, la production alimentaire connaîtra des difficultés considérables. Les pommes, les carottes, les aubergines, l’ail, les oignons, les mangues et les melons sont quelques-uns des légumes qui seraient probablement sur le point de disparaître.
Parmi les facteurs pointés du doigt pour la diminution du nombre d’abeilles figurent l’augmentation exponentielle de l’utilisation de pesticides, le changement climatique et une sorte de parasites qui tuent les abeilles jeunes et adultes. Des experts de différents pays ont discuté des moyens de contourner le problème avant qu’il ne soit trop tard.
Les humains ne seraient pas les seuls à être affectés. Divers animaux dépendent également des légumes pour se nourrir, et une pénurie compromettrait l’ensemble de la chaîne alimentaire. Les animaux herbivores peuvent mourir par manque de nourriture, ce qui affecte également les animaux carnivores.
La viande et les produits laitiers seraient également touchés
L’approvisionnement en viande et en produits laitiers serait également gravement affecté, car les animaux auraient moins accès à la nourriture. Les prix des denrées alimentaires en général auraient tendance à augmenter, rendant l’accès plus difficile, et une crise économique dans le secteur de la production alimentaire serait difficile à surmonter.
L’extinction des abeilles compromettrait également l’accès aux vêtements, car le coton dépend des abeilles pour se reproduire. Les vêtements deviendraient plus chers et dépendre des tissus synthétiques ne serait pas une bonne idée, surtout pour ceux qui vivent dans les régions tropicales.